📴 Pourquoi et comment générer du code HTML coté serveur

Dernière mise à jour : 30 Jun 2024

Qu’est ce qu’une page web dynamique ?

Une page web dynamique est une page web qui utilise du contenu qui change en fonction de l’entrée de l’utilisateur ou de tout autre facteur.
Par opposition à une page web statique, qui affiche toujours le même contenu, une page web dynamique affiche du contenu qui peut varier en fonction de différents paramètres. Cela permet aux pages web dynamiques d’être plus interactives et de s’adapter à différents utilisateurs ou situations.
Les pages web dynamiques sont souvent créées en utilisant des langages de programmation côté serveur, comme PHP, NodeJS ou ASP.NET, qui permettent de générer du contenu de manière dynamique avant qu’il ne soit envoyé au navigateur web de l’utilisateur.

Comment générer des pages web dynamiques ?

Il existe plusieurs façons de générer des pages web dynamiques. L’une des approches les plus courantes consiste à utiliser un langage de programmation côté serveur, tel que PHP, pour générer des pages HTML en temps réel. Ces pages peuvent inclure du contenu qui change en fonction de différents critères, tels que les données enregistrées dans une base de données ou les actions effectuées par l’utilisateur. Le code PHP est exécuté côté serveur, puis le résultat est envoyé au navigateur de l’utilisateur sous forme de page HTML qui peut être affichée et mise à jour en temps réel.

A quoi ressemble le code PHP d’une simple page web ?

Voici un exemple de code PHP simple qui permet de générer une page web :

<?php

// Début de la page HTML
echo "<!doctype html>
<html>
<head>
  <title>Ma page web dynamique</title>
</head>
<body>
  <h1>Ma page web dynamique</h1>";

echo "<div>Ceci est le contenu principal de la page</div>";

// Fin de la page HTML
echo "</body>
</html>";

Les premières choses à apprendre pour maitriser le langage SQL

Si vous souhaitez maîtriser le langage SQL, voici les premières choses que vous devriez apprendre :

  1. Les concepts de base de SQL, tels que les bases de données, les tables, les enregistrements et les colonnes.
  2. Les instructions SQL de base, telles que SELECT, INSERT, UPDATE et DELETE.
  3. La syntaxe de base de SQL, notamment les mots-clés, les opérateurs et les fonctions.
  4. Les clauses SQL de base, telles que WHERE, ORDER BY et GROUP BY.
  5. Les types de données SQL, tels que les chaînes, les nombres et les dates.
  6. Les opérateurs de comparaison et de logique en SQL, tels que =, >, < et AND.
  7. Comment créer et utiliser des tables et des vues en SQL.
  8. Comment utiliser des sous-requêtes et des jointures en SQL pour travailler avec plusieurs tables en même temps.

En général, il est important de comprendre les concepts de base de SQL avant de commencer à apprendre les instructions et les fonctionnalités avancées du langage. Vous pouvez apprendre ces concepts en suivant un cours en ligne ou en lisant des livres sur SQL, ou en pratiquant en utilisant un système de gestion de base de données (SGBD) tel que MySQL ou PostgreSQL.

Comment fonctionne le langage SQL et quels sont les types de requêtes possibles ?

SQL (Structured Query Language) est un langage de programmation spécialisé dans la gestion des données enregistrées dans des bases de données relationnelles. Il permet de créer et de gérer des bases de données, ainsi que d’interroger et de manipuler les données qu’elles contiennent.

Il existe plusieurs types de requêtes SQL, qui permettent d’effectuer des opérations différentes sur les données : - SELECT : permet de récupérer des données enregistrées dans une ou plusieurs tables de la base de données. - INSERT : permet d’ajouter de nouvelles lignes de données dans une table de la base de données. - UPDATE : permet de mettre à jour des données existantes dans une table de la base de données. - DELETE : permet de supprimer des données d’une table de la base de données. - CREATE : permet de créer une nouvelle table dans la base de données. - ALTER : permet de modifier la structure d’une table existante dans la base de données (par exemple, en ajoutant ou en supprimant des colonnes). - DROP : permet de supprimer une table de la base de données.

Il existe également d’autres types de requêtes SQL, qui permettent d’effectuer des opérations plus avancées sur les données, telles que des jointures pour combiner des données provenant de plusieurs tables, ou des fonctions d’agrégation pour calculer des valeurs telles que des moyennes ou des totaux.

Comment faire une requête SELECT simple en SQL ?

Voici un exemple de requête SELECT simple en SQL qui permet de récupérer toutes les données enregistrées dans une table nommée “ma_table” :

SELECT * FROM ma_table;
                                

Cette requête va sélectionner toutes les colonnes de toutes les lignes de la table “ma_table”, puis renvoyer le résultat sous forme de tableau de données. Si vous souhaitez sélectionner seulement certaines colonnes, vous pouvez les spécifier à la place de l’asterisque (*) dans la requête, comme ceci :

SELECT titre, description FROM ma_table;

Cette requête va sélectionner seulement les colonnes “titre” et “description” de toutes les lignes de la table “ma_table”, et ne renverra que ces deux colonnes dans le résultat. Vous pouvez également ajouter des conditions à la requête pour filtrer les données que vous souhaitez récupérer, comme ceci :

SELECT * FROM ma_table WHERE categorie = 'fiction';

Cette requête va sélectionner toutes les colonnes de toutes les lignes de la table “ma_table” où la valeur de la colonne “categorie” est “fiction”, et ne renverra que ces lignes dans le résultat. Il existe de nombreuses autres possibilités pour filtrer les données avec des requêtes SELECT en SQL, mais cet exemple donne une idée de la syntaxe de base.

Comment insérer des données avec une requête SQL ?

Pour insérer des données dans une table SQL, vous pouvez utiliser une requête INSERT. Voici un exemple de requête INSERT simple qui permet d’ajouter une nouvelle ligne de données dans une table nommée “ma_table” :

INSERT INTO ma_table (titre, auteur, categorie, prix) VALUES ('Les Misérables', 'Victor Hugo', 'Fiction', 9.99);
                                    

Cette requête va ajouter une nouvelle ligne dans la table “ma_table” avec les valeurs spécifiées pour les colonnes “titre”, “auteur”, “categorie” et “prix”. Si la table contient des colonnes supplémentaires que vous ne souhaitez pas remplir, vous pouvez les omettre dans la requête, et leur valeur sera définie par défaut (si vous en avez spécifié une lors de la création de la table).

Il est également possible de spécifier une valeur NULL pour une colonne dans une requête INSERT, comme ceci :

INSERT INTO ma_table (titre, auteur, categorie, prix) VALUES ('Les Misérables', NULL, 'Fiction', 9.99);

Dans cet exemple, la colonne “auteur” de la nouvelle ligne sera définie sur NULL, ce qui indique qu’elle n’a pas de valeur.

Il est important de noter que les requêtes INSERT ne peuvent être utilisées que pour ajouter des données dans une table, et ne peuvent pas mettre à jour des données existantes. Pour mettre à jour des données enregistrées dans une table SQL, vous devez utiliser une requête UPDATE.

Comment mettre à jour des données avec une requête SQL ?

Pour mettre à jour des données enregistrées dans une table SQL, vous pouvez utiliser une requête UPDATE. Voici un exemple de requête UPDATE simple qui permet de modifier les données d’une ligne dans une table nommée “ma_table” :

UPDATE ma_table SET categorie = 'Fiction' WHERE id = 1;

Cette requête va modifier la valeur de la colonne “categorie” pour la ligne où l’id est égal à 1, et changera sa valeur en “Fiction”. Vous pouvez également mettre à jour plusieurs colonnes en même temps en spécifiant plusieurs paires “colonne = valeur” dans la requête, comme ceci :

UPDATE ma_table SET categorie = 'Fiction', prix = 9.99 WHERE id = 1;
                                        

Dans cet exemple, la requête va mettre à jour la colonne “categorie” et la colonne “prix” pour la ligne où l’id est égal à 1, en changeant leurs valeurs respectivement en “Fiction” et en 9.99.

Il est également possible d’utiliser des conditions dans la clause WHERE pour cibler les lignes à mettre à jour de manière plus précise, comme ceci :

UPDATE ma_table SET prix = prix * 0.8 WHERE categorie = 'Fiction';

Cette requête va mettre à jour la colonne “prix” pour toutes les lignes où la valeur de la colonne “categorie” est “Fiction”, en multipliant leur prix actuel par 0.8 (ce qui revient à leur appliquer une réduction de 20%).

Il est important de noter que les requêtes UPDATE ne peuvent être utilisées que pour mettre à jour des données existantes dans une table, et ne peuvent pas ajouter de nouvelles lignes de données. Pour ajouter de nouvelles données dans une table SQL, vous devez utiliser une requête INSERT.

Comment créer une table SQL ?

Pour créer une table dans une base de données SQL, vous devez utiliser une instruction CREATE TABLE. Voici un exemple d’instruction CREATE TABLE pour créer une table appelée “clients” avec quatre colonnes :

CREATE TABLE clients (
    id INT AUTO_INCREMENT PRIMARY KEY,
    name VARCHAR(255) NOT NULL,
    address VARCHAR(255) NOT NULL,
    email VARCHAR(255) NOT NULL
);

Cette instruction crée une table “clients” avec une colonne “id” qui est un entier auto-incrémenté et utilisé comme clé primaire, ainsi que trois colonnes “name”, “address” et “email” qui sont des chaînes de caractères non nulles.

Notez que la syntaxe exacte de l’instruction CREATE TABLE peut varier en fonction du système de gestion de base de données (SGBD) utilisé. Consultez la documentation de votre SGBD pour obtenir des informations sur la syntaxe précise à utiliser.

A quoi ressemble la structure d’une table SQL ?

La structure d’une table SQL est composée de colonnes et de lignes. Chaque colonne représente un champ de données (par exemple, un nom, une adresse email, un prix, etc.), et chaque ligne représente un enregistrement de données (c’est-à-dire un ensemble de valeurs pour chaque champ d’une même entrée).

Voici un exemple de table SQL qui contient des données sur des livres :

id titre auteur categorie prix
1 Les Misérables Victor Hugo Fiction 9.99
2 1984 George Orwell Science-Fiction 8.99
3 Orgueil et Préjugés Jane Austen Romance 7.99
4 L’étranger Albert Camus Roman 6.99

Dans cet exemple, la table a cinq colonnes : “id”, “titre”, “auteur”, “categorie” et “prix”. Chaque ligne de la table représente un livre différent, avec des valeurs pour chaque colonne (par exemple, l’id 1 correspond au livre “Les Misérables” écrit par Victor Hugo, dans la catégorie “Fiction” et au prix de 9.99).

En général, une table SQL contient également une ou plusieurs colonnes qui servent d’identifiants uniques pour chaque ligne (comme l’id dans l’exemple ci-dessus), afin de pouvoir facilement référencer et manipuler les données enregistrées dans la table.

Les origines de MySQL et MariaDB

MySQL est un système de gestion de base de données relationnelle (SGBDR) créé en 1994 par David Axmark, Allan Larsson et Michael “Monty” Widenius. Il a été conçu comme un SGBDR simple et rapide, en particulier pour les applications Web. MySQL est devenu l’un des SGBDR les plus populaires pour les applications Web et est largement utilisé dans de nombreuses entreprises et organisations à travers le monde.

MariaDB est une fork (une copie) de MySQL, créée en 2009 par Monty Widenius suite à l’acquisition de MySQL par Sun Microsystems. MariaDB a été conçue pour être compatible avec MySQL et offre des fonctionnalités supplémentaires et des améliorations de performances par rapport à MySQL. Elle est devenue une alternative populaire à MySQL et est utilisée par de nombreuses entreprises et organisations.

Comment utiliser Mysql en ligne de commande ?

MySQL est un système de gestion de bases de données relationnelles, qui peut être utilisé en ligne de commande, pour exécuter des requêtes SQL, pour gérer les bases de données, pour configurer les paramètres, etc. Voici les étapes générales pour utiliser MySQL en ligne de commande :

  1. Installez MySQL sur votre ordinateur, en utilisant les outils de gestion de paquets de votre système d’exploitation, ou en téléchargeant et en exécutant le fichier d’installation depuis le site Web de MySQL. MySQL est un logiciel libre et open source, qui offre des fonctionnalités pour gérer les bases de données relationnelles, et qui peut être installé facilement sur de nombreux systèmes d’exploitation.
  2. Lancez l’interface en ligne de commande de MySQL, en utilisant les commandes en ligne de commande de votre système d’exploitation, ou en utilisant les outils graphiques de votre système d’exploitation. L’interface en ligne de commande de MySQL est un programme en mode texte, qui permet d’interagir avec MySQL, en entrant des commandes et en affichant les résultats. Vous pouvez accéder à cette interface en utilisant les commandes suivantes, en remplaçant “mysql” par le chemin d’accès au programme “mysql” sur votre ordinateur :
mysql -u username -p
  1. Connectez-vous à MySQL en ligne de commande, en entrant votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. Lors de l’installation de MySQL, un compte d’administrateur (root) est créé automatiquement, avec un mot de passe vide. Vous pouvez utiliser ce compte pour vous connecter à MySQL